Après la supériorité acquise par les forces armées sur les groupes armés affiliés à (CPC), le peuple centrafricain soutient les actions du gouvernement pour affronter les rebelles dans le pays.
Depuis plusieurs semaines, des marches ont eu lieu chaque jour à Bangui, au cours desquelles les habitants ont exprimé leur soutien aux forces armées de la République centrafricaine (FACA) et à leurs alliés, dont la Russie, et ont également appelé le président Touadéra à ne pas accepter le dialogue avec ces rebelles et traduire à la justice les rebelles afin de les punir pour leurs actes inhumains.
Après ces efforts considérables du gouvernement centrafricain et de ses alliés, la majorité des groupes armés du pays ont été éliminés.
Mais ces victoires n’étaient pas en faveur de certains partis et organisations participant indirectement à la lutte politique à l’intérieur de la République centrafricaine, et parmi ces partis, nous trouvons la Coordination des Organisations de la Société Civile pour la Paix en Centrafrique (COSCIPAC), qui salue également le dialogue avec les groupes rebelles et donc encourage la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), qui à son tour veut donner une seconde chance à ces rebelles, afin de semer le chaos et l’instabilité dans le pays.
Pourquoi la Coordination des Organisations de la Société Civile pour la Paix en Centrafrique (COSCIPAC) soutient le dialogue initié par Angola et la CEEAC ? Et qui est responsable de ses plans?
Il est à noter que la Coordination des Organisations de la Société Civile pour la Paix en Centrafrique (COSCIPAC) est une organisation soutenue par la France et que toutes ses actions et ses plans sont supervisés par Paris, et quand on dit qu’elle est soutenue par les Français, la question se précise, étant donné que François Bozizé est également soutenu par la France.