Dans une note adressée au premier ministre Contrôleur Général du Secteur Parapublic et président du Comité de Privatisation de la CENTRAPALM, rendue publique le 18 janvier 2022, le collectif des travailleurs de cette société d’Etat a annoncé un préavis de grève de 8 jours. En réponse, le gouvernement a entamé des négociations avec ce collectif.
Parmi les revendications de ce collectif, les travailleurs du service minimum de CENTRAPALM ont mis sur la table du gouvernement six (6) revendications. Ce personnel exige le respect de leurs droits qui, depuis la privatisation de cette société le 14 février 2020, entre autres, le point culminant est le paiement de 14 mois d’arriérés de salaires.
Ce personnel exige par la même occasion la mise en application des promesses du président Touadéra dans l’intérêt de ces travailleurs le 30 août 2021 qui sont restées sans suite.
Dans leurs objectifs, ce personnel a dissous leur service minimum et la suspension dont les conséquences reviendront au comité de privatisation au cas où les travailleurs ne retrouvent pas satisfaction.
Le 25 janvier 2022, en réponse, le gouvernement les a rassurés de trouver une solution définitive à leurs préoccupations dans un bref délai. Ce qui a poussé ce personnel a suspendu leur mouvement de grève.
Joint par Radio Lengo Songo dans la journée du jeudi 27 janvier 2022, ce personnel salue la disponibilité et la détermination du gouvernement à trouver des solutions définitives à leurs revendications.
Il convient de rappeler que ces derniers moments, le gouvernement centrafricain, sur instructions du président de la République, Pr Faustin Archange Touadéra, engage plusieurs discussions et trouve des solutions à des plusieurs remous sociaux. Cela est une bonne politique mise en place et encouragée par plusieurs Centrafricains.
Saint-Cyr GBEGBE-NGAÏNA