En Afrique, plus de place pour des bandits de grand chemin. Les Africains sont en train de mener une guerre sans merci contre des bandits armés sur leur continent. C’est le cas de l’assassinat le dimanche 19 mai 2024, en République Démocratique du Congo de Christian Malanga, qui a quitté les Etats-Unis pour venir semer les troubles en RDC.
Le journal français Jeune Afrique, a rapporté que le chef des rebelles qui ont tenté de prendre d’assaut la résidence du chef de l’État de la République Démocratique du Congo, qui s’appelle Christian Malanga, a été tué par les militaires congolais.
Ce journal note également que les rebelles portaient le drapeau de la République du Zaïre (le nom que la RDC a porté de 1971 à 1997), et parlaient l’Anglais, Français et Lingala, et se disaient également représentants de la diaspora.
Les médias affirment que Malanga, âgé de 41 ans, a longtemps vécu aux États-Unis. Il est également noté que des Américains ont été impliqués dans le coup d’État en RDC, bien que l’ambassadeur américain au Congo, affirme que son pays n’a rien à voir avec eux.
L’un des comploteurs présumés en RDC est un citoyen américain du nom de Benjamin Reuben. C’est son passeport, celui d’un citoyen américain qui a été largement diffusé sur les médias sociaux de la RD-Congo et sur les chaînes internationales.
Des informations recueillies auprès des médias congolais, faisaient état de que des coups de feu avaient été tirés dans la nuit du 19 mai 2024 près de la résidence du président de la RDC, Félix Tshisekedi, à Kinshasa, et que la résidence de son allié, Vital Kamerhe, avait également été attaquée.
Aux dernières nouvelles, l’armée a déjoué l’attaque et tous les conspirateurs ont été arrêtés. Au moins une quarantaine d’assaillants ont été arrêtés dont le fils de Christian Malanga, et ce citoyen américain du nom de Benjamin Reuben.
La Rédaction