L’une des salles de conférence de la Maison Russe de Bangui, a servi de cadre à un moment de retrouvaille et de partage d’idées à l’intention de différents couples russo-centrafricains dans la capitale centrafricaine. Ceci pour célébrer la Fête de Famille, inscrite dans la tradition russe. En présence des étudiants de la Maison Russe, cette cérémonie a été marquée par des spectacles, des chansons en langue russe, de la danse traditionnelle, des poésies d’amour et des partages de repas.
L’objectif, est de montrer aux yeux de tout le monde que la famille, a une importance capitale. La cérémonie a eu lieu dans l’après-midi de mercredi 08 juillet 2025, en présence de plusieurs ressortissants russes vivant sur le sol centrafricain.
La célébration de cette fête, est une occasion de se réunir en famille à la maison, avec tous les proches parents, composés de grands parents, des fils et filles, des petits-fils, de tous proches de la famille, permettant de s’amuser ensemble. C’est une culture russe qui donne de la valeur le 08 juillet, de chaque année.
Au cours de son mot de bienvenu, la Directrice de la Maison Russe de Bangui, Anastasia, a rappelé le contexte de cette fête. Pour elle, «c’est la fête d’amour et de l’unité. Aujourd’hui, on a essayé de montrer que nos deux (2) cultures sont unies. Et la présence de ces invités à la Maison Russe, c’est comme une seule famille. Le seul exemple que nous voulons montrer à la population centrafricaine, c’est qu’on a les cœurs ouverts et voulons être plus proches de la population centrafricaine dans le domaine de renforcer davantage les réalités de nos deux (2) cultures».
L’idée, c’est d’apprendre l’un de l’autre, qu’est-ce qui est donné de plus possible de notre côté et recevoir l’amitié, l’amour, et l’unité de la population africaine.
Celle-ci a ajouté que «la célébration de la Fête de la Famille au Centre Culturel Russe, représente des valeurs inexplicables. Parce que pour nous, c’est important de voir une famille, un homme avec une femme, des enfants. Ce qui représente toutes les valeurs fondamentales», a-t-elle conclu.
Marcelin Endjikélé Kossikako