Le Président du parti de l’Unité Républicaine (UNIR), Henri-Marie Dondra, est entré ce matin la lice pour être candidat à la prochaine élection présidentielle en République Centrafricaine. Ce dernier a officiellement déposé ce mercredi 08 octobre 2025, sa candidature.
Cet exercice démocratique vise à promouvoir le développement et consolider la paix en République Centrafricaine. Au sortir des formalités du dépôt de sa candidature, Henri-Marie Dondra, Président du parti «UNIR», candidat n°5, justifie sa motivation. «Je fais acte de candidature, parce que le parti UNIR m’a investi lors de son Congrès extraordinaire. Donc, je ne fais que respecter la décision de mon parti. Je vais essayer à notre niveau du parti d’œuvrer pour la consolidation de la paix et le le développement de notre pays. Nous devons nous adhérer à la volonté du peuple. Aussi, nous avons cette obligation d’agir dans l’intérêt des Centrafricains. Car, seule la population peut nous juger»,a-t-il justifié.
Contrairement à l’appel au boycott de certains leaders politiques extrémistes issus du «BRDC», Henri-Marie Dondra appelle les autres hommes politique d’emboîter le pas pour sauvegarder et promouvoir la démocratie dans le pays. «Le parti UNIR a un langage qui est celui de s’unir pour bâtir la République. C’est regrettable ! Mais, c’est un choix pour ces derniers et je pense qu’il nous faut davantage un temps de se parler pour que ces leaders-là reviennent à la raison. Par cette occasion, j’invite tous les hommes politiques de déposer leur candidature pour participer à ces élections qui est l’un des processus de la démocratie», a-t-il invité.
Il faut noter qu’à ce jour, des opposants qui appellent au boycott, ont lamentablement échoué et le peuple Centrafricain ne veut plus leur présence à la tête du pays. C’est pourquoi, ils conditionnent leur participation au processus électoral en cours, avec l’organisation d’un prétendu dialogue afin qu’ils puissent défendre leurs propres intérêts au détriment du peuple Centrafricain. Il faut noter que la 7ème République est toujours en marche !
Carole Bycekoan