Le Ministre Délégué Conseiller en Communication et Porte-parole de la Présidence de la République, Albert Yaloké Mokpème, se félicite du déroulemmrny de procès de Martin Joseph Figueira à l’issue de la première session ordinaire de la Cour d’Appel de Bangui. Selon le Porte-parole de la Présidence, c’est un bel exemple pour le respect de la Loi Fondamentale du pays par tout individu qui vit sur le territoire national, quel que soit la couleur de sa peau. Propos exprimés au cours sa traditionnelle conférence de presse hebdomadaire de ce vendredi 31 octobre 2025 à Bangui.
Le Porte-parole de la Présidence de la République, a expliqué que Martin Joseph Figueira a été entendu ces derniers jours et il a reconnu dans les auditions qui ont lieu. Il a également reconnu qu’il a eu des relations avec certains groupes rebelles, parmi lesquels, l’UPC d’Ali Darassa.
Donc, le procès suit son cours et les culpabilités sont révélées au grand jour. Mais, sinon, il y a des auditions sur lesquelles, il est entendu en ce moment. Il y a beaucoup de preuves qui demandent à être produites et «je pense que ça sera produit les moments venus», a déclaré Albert Yaloké Mokpème.
Les implications, les relations qu’il a, les personnes avec qui, il est en contact, ce sont des choses prouvées. Et il a reconnu un certain nombre de situations sur lesquelles, il est impliqué. Puisque la police judiciaire détient des preuves tangibles.
Selon Albert Yaloké Mokpème, le procès de Martin Joseph Figueira, aucun pays, ni l’Union Européenne ne peux s’immiscer dans cette affaire, «non ! Au moins, c’est à quel niveau ? On leur a déjà répondu. Il y a un procès, laisser la justice de notre pays faire son travail. J’ai déjà eu l’occasion de le dire ici, il y a des Centrafricains qui sont en prison dans les pays européens. Si vous êtes dans notre pays, et que vous ne respectez pas nos lois, vous êtes passible d’être poursuivis en justice. C’est le cas en ce qui concerne Figueira», a clarifié le Porte-parole de la Présidence de la RCA.
Ce procès de Belgo-Portugais Martin Joseph Figueira, démontre à suffisance que la justice centrafricaine, a atteint un niveau aussi fort, comparativement à des faits dans le passé où des étrangers commettent des crimes et qui étaient restés impunis.
Avec cette 7ème République, il n’y a plus de place à l’impunité ! Cela est un bel exemple. Nul n’est au-dessus de la Loi en Centrafrique. Auric De Jean Jovice Ouakara
