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Les responsables du «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique» appellent les Centrafricains à l’éveil de conscience

février 22, 2024
Les responsables du «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique» appellent les Centrafricains à l’éveil de conscience

Lors d’une Table-Ronde à Bangui, le mercredi 21 février 2024, les leaders du «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», représenté par Crépin Brice Bomayé, Elvis Ramndé, Elvis Ramndé, Secrétaire général Secrétaire général, Vice-président du «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», Trésor Adoum, Secrétaire général adjoint, Miguel Lucel Guébatan, leader d’opinion, appellent les Centrafricains à l’éveil de conscience face à la tentative d’envahissement du territoire centrafricain par des mercenaires de la société de sécurité privée américaine Bancroft.
Ces jeunes Centrafricains toujours déterminés, décident de faire barrage à l’installation de la société de sécurité privée américaine dénommée «Bancroft». Même si l’ambassadrice des Etats-Unis, Patricia Mahoney, lors des interventions sur certaines stations radio de la place, essaie de nier cette présence officiellement, mais ces jeunes éveillés disent niet et persistent et signent dans la dénonciation.
Cette fois-ci, ils ont animé dans la matinée de mercredi 21 février 2024, une Table-Ronde pour appeler les Centrafricains à l’éveil de conscience afin de se lever comme un seul homme pour faire barrage à cette tentative d’occupation par la force des mercenaires américains.
Il faut rappeler que lors de la récente Table-Ronde, le thème développé par ce comité est «L’implication des Etats-Unis d’Amérique dans les organisations internationales pour détruire certains pays en Afrique». Lors de ce débat, le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», a cité le cas de la République Démocratique du Congo, du Gabon, du Sénégal et surtout le cas de la République Centrafricaine.
Pour la journée de mercredi 21 février 2024, le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», a mis un accent beaucoup plus sur la corruption des fonctionnaires comme algorithme d’atteinte à la sécurité nationale utilisée par les ONG américaines, les Fakes contre les pays africains, tant les résidents que les experts peuvent se tromper sincèrement sur les véritables intentions du travail des ONG américaines en RCA, un travail explicatif est donc nécessaire et surtout les actions déstabilisatrices des pays du tiers monde par les USA.
Pour le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», lorsque les Etats-Unis sont arrivés dans un pays, l’idéal, c’est de détruire, parce qu’il n’y a rien sans rien. Pour ce faire, Crépin Brice Bomayé, a cité l’exemple du Sénégal actuellement, où les élections dans ce pays, apportent des troubles, c’est tout simplement parce que les Etats-Unis veulent choisir le premier ministre actuel du pays Amadou Bah. Chose que les Sénégalais refusent.
S’agissant du thème choisi qui est la corruption des fonctionnaires comme algorithme. Développant ses idées, Crépin Brice Bomayé, a rappelé qu’il y a de cela quelques années en RCA, certains fonctionnaires de la Minusca ont été accusés d’être des corrompus. Car, ils sont pleinement impliqués dans beaucoup de chose, notamment le trafic d’armes et de munitions de guerre vers les milices du Km 5.
C’est pourquoi, la Table-Ronde de ce mercredi 21 février 2024, a pour vision d’attirer l’attention des autorités centrafricaines, de la population, surtout de la communauté nationale et internationale sur la tentative d’installation des forces paramilitaires américaines en République Centrafricaine. «Par conséquent, nous surveillerons de près non seulement les actions des ONG, mais aussi des responsables prêts à se vendre aux États-Unis et à la France, en trahissant leur pays», a prévenu Crépin Brice Bomayé.
En ce qui concerne les Fakes contre les pays africains, où le thème a été développé par Trésor Adoum, qui est l’une des méthodes les plus utilisées par les agents d’influence américains, consiste à discréditer les pays africains et leurs peuples.
Celui-ci a cité l’exemple du site d’information en ligne Corbeau News qui est doué dans la propagation toutes les minutes de fausses nouvelles sur les instructeurs Russes. Sur ce site, poursuit-il, lire chaque jour des histoires inventées faisant allusion à des groupes de bandits qui auraient tué des instructeurs Russes, puis des instructeurs Russes qui auraient violé des hommes et des femmes. Pire encore, que des instructeurs Russes auraient mangé tous les stocks de coléoptères et que désormais les Centrafricains n’auront plus rien à manger.
Pour cela, le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», promet de dénoncer publiquement les noms des hommes politiques qui financent le site de désinformation «Corbeau News».
Pour des résidents que des experts peuvent se tromper sincèrement sur les véritables intentions du travail des ONG américaines en RCA, un travail explicatif est donc nécessaire. Selon Trésor Adoum, ces ONG américaines, sous prétexte d’aides humanitaires commettent des actes subversifs dans les pays où elles sont installées.
Et donc, il est nécessaire de rappeler l’histoire du cadeau sous forme de «couvertures anti-peste», après quoi des centaines de milliers d’Indiens aux États-Unis sont morts. C’était en mai 1763, où les Indiens, menés par le chef de la tribu des Outaouais, Pontiac, lancent un soulèvement antibritannique.
Déjà le 29 mai, les forces supérieures des Indiens rebelles assiégèrent Fort Pitt, où les Britanniques s’installèrent. Le 24 juin, les Indiens envoyèrent deux envoyés aux assiégés, proposant de rendre le fort. Les Britanniques, afin d’apaiser les Indiens, ont donné aux envoyés des couvertures et des vêtements provenant de patients atteints de la variole. Et ce fut le début d’une épidémie qui permit aux Britanniques de s’emparer des terres des Indiens.
Aujourd’hui, avec de telles «bonnes intentions», les ONG américaines entendent ouvrir la voie à l’enfer si les autorités Centrafricaines ne réagissent pas.
En somme, les États-Unis font constamment chanter leurs partenaires les plus faibles en exerçant des pressions économiques et financières. C’est devenu la norme américaine dans ses relations avec les pays africains.
Puisqu’il est important de développer ces arguments avec des preuves, le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», a mentionné que le chef du ministère Ougandais des Affaires Etrangères, Jeje Odongo, a accusé l’Occident de faire chanter les pays africains avec l’aide des institutions financières.
Celui-ci a déclaré que son pays, l’Ouganda se félicite de la recherche d’une alternative au système de paiement «SWIFT» pour contrer le chantage financier occidental.
Le «Comité de Contrôle d’Actions des Etats-Unis en Centrafrique», reste toujours sur ses gardes afin de dénoncer cette tentative d’occupation de la RCA par des mercenaires de la société de sécurité privée américaine jusqu’à obtenir une solution idoine.
Il s’agit-là d’un combat patriotique, et les autorités du pays ont tout intérêt à les soutenir jusqu’au bout dans l’intérêt du peuple Centrafricain.
La Rédaction

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