Depuis que le Président de la République, le Pr Faustin Archange Touadéra, a apposé sa signature en bas de la nouvelle Constitution du 30 août 2023, la peur a gagné le camp de l’opposition armés et ses complices. Car, sous cette 7ème République, il n’y plus de place pour des criminels armés, des criminels en col blanc sans oublier les agents doubles.
D’abord, du côté de l’opposition armée, certains leaders qui seraient de connivence avec des bandits armés sur le terrain, après avoir eu sur leur conscience qu’ils font du mal au peuple Centrafricain depuis des années, ont jugé utile de prendre le chemin de l’exil pour regagner leur deuxième pays qu’est la France.
Suite à cette absence, plusieurs de leurs sympathisants, quitté le beau pour adhérer à la classe politique plus modérée dans le seul but de participer à la transformation, le rétablissement de la paix et surtout au développement de leur pays en partage.
Ceci étant, plusieurs partis politiques en République Centrafricaine qui se réclament de l’opposition démocratique, restent l’ombre d’eux-mêmes par la faute des leaders qui ne cherchent que leurs intérêts au détriment de l’intérêt du peuple qu’ils devraient les défendre.
Côté des bandits armés, le constat est là. Sur le terrain, plusieurs bandits armés sont neutralisés par la puissance de frappe des éléments des Forces Armées Centrafricaines (FACA) et leurs alliés Russes. Ce qui pousse les leaders de bandits armés à se désolidariser de leurs mouvements. C’est le cas tout récemment, en date de 10 février 2024, où Abdoulkassim Algoni Tidjani Anour, qui était le soi-disant «coordonnateur politique du MPC», a annoncé son retrait de ce mouvement de criminels. Même s’il n’a pas présenté les raisons de sa démission, mais nous pouvons comprendre aisément qu’il n’y a plus de place pour des criminels sur le territoire centrafricain et surtout que le Président Touadéra a décidé de protéger son peuple.
D’ailleurs, on peut toutefois rappeler encore tout récemment au village Mamoun, situé à 5 kilomètres de Gordil, à Birao dans la préfecture de la Vakaga, un accrochage a été signalé entre les FACA et les bandits armés du PRNC, où cette tentation de provocation a été fatale pour ce groupe. Plusieurs éléments du PRNC tués et capturés. Parmi les tués, on compte leur leader qui s’appelle Mohamed Ali connu sous le sobriquet de «B13».
Pour le peuple Centrafricain, tous les groupes armés doivent disparaître ! Et donc, c’est ce que l’armée est en train de faire en ce moment pour la défense du territoire centrafricain. Plus question de dialogue avec les groupes de bandits, des démons de la mort.
Les seules voies de négociations sont tracées par le Président Touadéra : l’APPR-RCA et la Feuille de Route de Luanda !
Saint-Cyr Gbégbé-Ngaïna