La Maison Russe de Bangui, de concert avec le soutien des instructeurs Russes, a organisé un moment d’échange et de partage de culture, le mercredi 20 novembre 2024, dans la capitale centrafricaine. Ceci dans le but de couronner la célébration de la Journée Internationale des Droits de l’Enfant. Objectif, penser à l’importance des enfants dans la société.
Ce moment de retrouvaille et d’échanges des enfants Centrafricains sans distinction, a été marqué par l’organisation d’un spectacle, des jeux concours, la transcription du conte russe et l’octroi des cadeaux.
Charles Bouza, Directeur du groupe théâtral «Le Conteur de Tout», apprécie à sa juste valeur cette initiative, «ce conte, est une transcription de la langue Russe en langue nationale Sango. Le message clé de ce conte ou encore de cette mise en scène, c’est la notion de fidélité chez les jeunes filles. Quoi que votre mari ressemble, vous devraient l’aimer pour le meilleur et pour le pire».
L’une des cadres du centre culturel Russe de Bangui, Léna, a pour sa part, expliqué que «les enfants sont très importants pour nous. C’est notre futur, et on a décidé de faire une fête pour les petits centrafricains, d’abord un spectacle», a-t-elle justifié.
Sur la question de la transcription du conte Russe en langue nationale Sango pour les enfants Centrafricains, l’assistante du Directeur de la Maison Russe de Bangui, Léna, apporte une clarification en ces termes, «le sens de ce conte, est que l’amour, est le principal dans notre vie, et à l’aide de l’amour pur, nous pouvons transformer même des choses mauvaises et dépasser des malheurs». Ce qu’il faut retenir, poursuit-t-elle en Russie, les Russes aiment beaucoup les enfants. Et donc, c’est ce qui devrait être la même chose en Centrafrique.
La Maison Russe de Bangui, a déjà organisé ces genres d’activités en faveur des enfants démunis, les enfants de la rue et autres. Ces activités sont saluées par plusieurs observateurs de la société. Car, elles permettent d’éveiller les enfants en cette période scolaire.
Marcelin Endjikélé Kossikako