Dans un article publié par le journal de propagation de fake news en ligne, «Corbeau News Centrafrique» et repris par «Le Quotidien de Bangui» la semaine dernière, pointant un doigt accusateur le Ministre de la Communication et des Médias, Porte-parole du Gouvernement, Maxime Balalou, d’avoir détourner des lampadaires appartenant à l’ENECA, sur financement du Fonds Saoudien, pour en faire un don personnel à la population de sa circonscription électorale du 2ème arrondissement de Bangui. Cette information a fait réagir ce dernier qui, dans un communiqué publié le vendredi 26 septembre 2025, dénonce ces allégations qu’il juge de fausses et mensongères pour le discréditer.
Le Ministre Maxime Balalou, a fait comprendre à l’opinion nationale et internationale que les informations publiées par «Corbeau News Centrafrique» et repris par le journal «Le Quotidien de Bangui», sont fausses et infondées.
Il a réitéré que depuis plusieurs années, «je m’investis personnellement pour améliorer les conditions de vie des habitants de ma circonscription. Ces derniers peuvent en témoigner. J’ai toujours réalisé, sur mes propres ressources, des dons en faveur de la jeunesse, des femmes, des écoles, des centres de santés et de la sécurité publique. L’installation des lampadaires solaires, s’inscrit dans cette continuité. Ces équipements ont été achetés à mes frais, et non détournés à l’ENERCA comme certains veulent le croire», a-t-il réagi.
Pour Maxime Balalou, leur objectif est clair : tenter de salir son image à l’approche des échéances électorales. Mais, «je le répète ; nous ne sommes pas encore en période électorale. Il est donc inutile de s’agiter ou d’essayer de manipuler l’opinion publique», a-t-il présenté.
Le membre du gouvernement, a ajouté que si réellement, il y avait eu vol ou détournement, pourquoi ceux qui l’accuse n’ont-ils pas porté plainte devant la justice ? Pourquoi l’ENERCA, supposée victime dans cette affaire, n’a-t-elle pas réagi pour confirmer ou soutenir cette thèse mensongère ? La diffamation avait elle-même tenté en vain, de se procurer des lampadaires solaires à des desseins inavoués. Son échec explique aujourd’hui sa manœuvre visant à le discréditer.
Maxime Balalou, rappelle à ces propagateurs de mensonge, l’importance de ces gestes concrets qu’attendent les milliers des Centrafricains afin de soulager et améliorer leur quotidien. «Je ne me laisserai pas intimidé ni décourager. Je poursuivrai mes actions sociales en faveur des populations dans la mesure de mes moyens», a-t-il soutenu.
Enfin, il a mis en garde contre la diffamation dans l’exercice de travail des journalistes, et prône la liberté d’expression et d’opinion, les débats d’idée, gage d’une démocratie dans un pays, à l’approche des élections démocratiques. «Je respecte la liberté de la presse et le débat d’idées, mais la diffamation, ne doit pas servir de substitut au travail journalistique. La démocratie exige un affrontement d’idée et de projet, non la manipulation ni la calomnie… Je réaffirme enfin ma disponibilité à toujours œuvrer pour la transparence, la vérité et le bien-être de mes concitoyens», a-t-il conclu.
Hugues Walter Pounebamblé