A l’approche des prochaines échéances électorales en République Centrafricaine, des voix commencent à s’élever pour saluer les réalisations du Chef de l’Etat Centrafricain, Pr Faustin Archange Touadéra, à la tête du pays. C’est le cas de Prince Fernand Delamas, candidat du Mouvement Cœurs Unis (MCU) aux élections législatives dans la première circonscription du 5ème arrondissement de Bangui. Prince Fernand Delamas, est l’invité de Radio Lengo Songo, de l’émission «Dialogue avec un candidat aux élections législatives» qui passe désormais à partir de 10 heures 00 à 10 heures 50 minutes.
Notons que Prince Fernand Delmas, n’est pas le seul à savourer et apprécier les réalisations du Chef de l’Etat centrafricain à la commande depuis le 30 mars 2016, date à laquelle, Faustin Archange Touadéra, a prêté serment.
D’entrée de jeu, Prince Fernand Delmas, intervient d’abord en tant qu’opérateur économique et candidat aux élections législatives, dans son développement, a salué l’initiative de modification de la Constitution du 30 mars 2016. Car, selon lui, le document en question, a été fabriqué par les occidentaux, dans le seul but de rendre dépendant la République Centrafricaine.
Il a noté que la décision prise par le peuple Centrafricain de voter massivement la Constitution du 30 août 2023, est salutaire. Selon lui, cette nouvelle Constitution a mis fin la politique de dépendance de la République Centrafricaine. «Désormais, ce sont les Centrafricains eux-mêmes qui doivent décider de leur destinée. Il n’est plus question d’aller demander une permission à un pays tiers afin de prendre une décision», a-t-il martelé.
Ce qui plait Prince Fernand Delmas dans cette nouvelle Constitution, est que désormais, pour être candidat à la présidentielle, il faut bénéficier d’une seule nationalité. «Cette Constitution a également tracé la place pour la jeunesse centrafricaine. Parce la jeunesse est le fer de lance d’un pays et est actrice de développement», a-t-il présenté.
Sur le plan sécuritaire, avant et le 30 mars 2016, où la RCA était qualifiée par certains observateurs «d’Etat failli» ou en état de «pré génocide», Prince Fernand Delmas, a souligné qu’il y a eu beaucoup d’efforts déployés par le Président Touadéra pour réussir à remettre le pays sur les pieds. «Le travail abattu par le Président Touadéra, depuis son accession à la magistrature suprême de l’Etat, jusqu’à présent, a réalisé beaucoup de choses qu’il faut saluer. Sur l’ensemble du territoire national, il y a la paix. L’armée centrafricaine disposait de 7.000 hommes à l’époque. Aujourd’hui, la RCA dispose de plus de 25.000 hommes. C’est dire qu’il y a un grand changement sur le plan sécuritaire», a-t-il comparé.
Sur le plan politique, Prince Fernand Delmas, a fait observer que l’autorité de l’Etat, est désormais visible sur l’ensemble du territoire national. Ajouté à cela, l’organisation bientôt des élections municipales, régionales et locales, après près de 40 ans, démontre à suffisance que le pays se remet doucement, mais sûrement sur ses deux pieds.
Sur le plan économique, l’invité de l’émission «Dialogue avec un candidat aux élections législatives», a soulevé qu’il est important pour chaque opérateur économique de quitter le secteur informel pour le secteur formel. Afin que l’Etat puisse les enregistrer et les réorganiser pour le bon développement de la République Centrafricaine.
En social, la question d’intégration en masse des jeunes dans la Fonction Publique, n’est pas quelque chose au hasard. Selon Prince Fernand Delmas, dans un passé récent, on faisait l’intégration dans la Fonction Publique en catimini. Mais, avec l’arrivée du Président Touadéra, voilà qu’«entre 2024 et 2025, plusieurs milliers des jeunes centrafricains sont intégrés dans la Fonction publique comme fonctionnaires et agents de l’Etat. C’est l’occasion à jamais pour la jeunesse centrafricaine de se lever et prendre en mains leur destinée», a-t-il soutenu.
Parlant du pouvoir de la justice dans le pays, l’invité de l’émission «Dialogue avec un candidat aux élections législatives», a souligné que la justice centrafricaine est impartiale, grâce à vision politique du Président Touadéra. «Ce qui m’ai arrivé tout récemment. Un prétendant candidat aux élections législatives a déposé une requête contre moi. Mais, grâce à l’impartialité de la justice centrafricaine, l’affaire a été tranchée en ma faveur. Parce que c’était des trucs montés de toutes pièces afin de nuire à ma réputation».
Il y a plusieurs avancées dans le domaine de la santé en République Centrafricaine. Avec la crise qui a secoué le pays, c’est toutes les institutions républicaines qui sont victimes. A y regarder de près, tout avance mieux. «Je prends un exemple pratique. Je suis en train de construire un dispensaire dans ma circonscription, précisément, au quartier Banda-Gbi. Ceci dans le but d’appuyer la population. Prenant l’exemple de MSF, cette ONG internationale se prépare à plier bagages d’ici mars 2026. C’est pourquoi le Chef de l’Etat centrafricain décentralise les centres de santé afin d’appuyer la population dans le domaine de la prise en charge sanitaire», a annoncé Prince Fernand Delmas.
Sur la question d’infrastructures de base, il a déclaré que les réalisations du Président Touadéra, sont aujourd’hui visibles. Les routes sont aménagées, le gouvernement centrafricain, en collaboration avec les partenaires russes, continuent de construire des forages à la population de Bangui, ainsi que des localités un peu éloignées de la capitale, afin d’abréger la souffrance du peuple.
La motivation de Prince Fernand Delmas pour devenir Député, sous la 7ème République, il souhaite faire de sa circonscription, une localité moderne, comme cela se constate ailleurs (urbanisation, canalisation et autres). Surtout, son combat est de réduire le taux élevé de la pauvreté dans sa circonscription à travers les Activités Génératrices de Revenus.
Dans son message de fin, Prince Fernand Delmas, invite les Centrafricains à faire confiance au Président de la République, Pr Faustin Archange Touadéra, pour sortir définitivement le pays de la situation de crise.
Notons que la première circonscription du 5ème arrondissement de Bangui, couvre les quartiers Banga, Yassara, Ngou-Ciment 2, Bangui-M’Poko 1 et 2, Malimaka, Kaya, Bataillon et Banda-Gbi.
Saint-Cyr Gbégbé-Ngaïna