La Direction générale du Centre de la Mère et de l’Enfant, a réceptionné un don dans l’après-midi de mardi 23 janvier 2024, de la part de la Direction générale de la Douane centrafricaine. Le lot est composé de produits alimentaires en faveur des enfants en situation difficile admis dans ce centre.
Ce geste s’inscrit dans le cadre des activités relatives à la célébration de la Journée Internationale de la Douane qui seront bouclées le 26 janvier prochain. Frédéric Théodore Inamo, Directeur général de la Douane centrafricaine, revient sur l’intérêt de ce geste. «A chaque année, nous avons des différentes activités que nous menons dans le cadre de la Journée Internationale de la Douane. Et l’une de ces activités, voilà c’est d’offrir des dons aux orphelinats. Pour cette année, nous avons choisi le Centre de la Mère pour remettre ce don. C’est vrai que ce n’est pas aussi costaud, mais c’est le geste qui compte»,a-t-il expliqué.
Par la même occasion, le DG de la douane centrafricaine a fait des promesses s’agissant de la pérennisation de l’appui de cette institution au Centre de la Mère et de l’Enfant, qui est dans un état de dégradation avancée. «Nous avons visité des dortoirs là où vivent ces enfants. Nous avons vu qu’il y a vraiment des manquements. Donc, je suis là, entouré de tous les douaniers, nous allons réfléchir pour voir ce que nous allons faire dans la mesure que possible»,a-t-il signifié.
C’est un réel plaisir pour Marcel Pékoua, Directeur chargé de la Protection et de Réinsertion de l’Enfant au Centre de la Mère et de l’Enfant, de réceptionner ce don. «C’est un plaisir de témoigner ma gratitude à l’endroit de la douane. Donc, je ne peux que dire merci pour ce geste. La douane nous a remis de poulets, des sacs du riz, des bouteilles d’eau, des bidons d’huile. En tout cas, cela va soulager ces enfants», a-t-il salué.
Les activités prévues par la Direction générale de la douane centrafricaine à l’occasion de leur journée, sont à encourager. Car, ces activités touchent directement le Centrafricain lambda sur le plan moral et sanitaire.
Lydie Sérégaza