Célébrée le 2 juillet de chaque année, la «Journée Mondiale des Objets Volants Non Identifiés» (OVNI), n’est pas seulement une occasion de réflexion sur les mystères non résolus de notre ciel, mais aussi un moment propice à la collaboration internationale pour explorer ces phénomènes avec rigueur scientifique. Cette journée peut servir de catalyseur pour transformer l’étude des «OVNI» d’un sujet de niche en un domaine scientifique légitime, apportant des réponses aux nombreuses questions encore sans réponse.
Le 2 juillet de chaque année marque également la date présumée du célèbre crash de Roswell, survenu en 1947. Cet incident est souvent cité comme l’une des preuves les plus solides de l’existence des OVNI. Malgré les nombreuses théories et enquêtes, le mystère de Roswell continue de captiver l’imagination du public. Cette journée vise également à sensibiliser le public et encourager les gouvernements à déclassifier les informations relatives aux observations d’«OVNI».
En effet, les statistiques indiquent une augmentation constante des signalements d’«OVNI». Selon le National UFO Reporting Center, plus de 4500 rapports ont été enregistrés en 2020, une hausse de 10% par rapport à l’année précédente.
Ainsi, cette tendance illustre un intérêt sociétal accru et une volonté de comprendre ce qui se cache derrière ces phénomènes énigmatiques. Car, notre planète est aujourd’hui victime des actions de ces objets non identifiés, qui affectent souvent la vie privée de la population mondiale et dévoilent, aussi les secrets cachés de notre l’univers.
Par ailleurs, l’un des principaux défis réside dans l’identification précise des phénomènes observés. Par exemple, en France, le groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés mène chaque année une centaine d’enquêtes pour tenter d’élucider les observations signalées.
Rollys Rodrigue Bissi