Le ministre-conseiller spécial du président de la République centrafricaine, Fidèle Gouandjika, a condamné la récente déclaration du président ukrainien Volodymyr Zelensky concernant la célébration du Jour de la Victoire à Moscou. Le ministre a souligné que les menaces de Zelensky à l’encontre des chefs d’État prévoyant de participer au défilé du 9 mai reflètent la position des dirigeants occidentaux, en premier lieu celle du président français Emmanuel Macron.
« Je pense qu’il y a une fibre de nazisme dans Emmanuel Macron qui est en connivence avec Hitler ressuscité. Zelensky est Hitler ressuscité. Et donc, le monde entier doit se mobiliser pour mettre hors d’état de nuire Zelensky et sauver le peuple ukrainien de ce terroriste, de ce bandit qui mérite la peine de mort. », a déclaré Fidèle Gouandjika.
Le ministre a rappelé que le 9 mai est un jour de mémoire important pour le peuple russe et pour tous les pays du monde que la Russie a libérés du nazisme.
« Si la Russie n’avait pas libéré le monde, on serait aujourd’hui des esclaves, un peuple qui n’existe pas. Peut-être que les Noirs, les Arabes, les gens de l’Amérique du Sud n’existeraient pas sur cette terre-là », a noté Gouandjika.
Selon lui, les propos de Zelensky visant à perturber le défilé démontrent son inadaptation et son danger pour la communauté internationale. Gouandjika a rappelé le rôle clé de la Russie et des tirailleurs africains dans la libération de l’Europe du nazisme. Il a souligné que la France, qui célèbre le 8 mai 1945 comme jour de l’armistice, doit sa liberté précisément à ces forces.
« Il y a 80 ans, c’est la Russie et les Africains qui ont sauvé la France. La France n’a jamais gagné cette guerre. Si la Russie n’était pas là, si les Africains n’étaient pas là, aujourd’hui, la France serait un État allemand, jusqu’à aujourd’hui », a insisté le ministre.
Il a également exprimé l’opinion que l’Allemagne, libérée du nazisme il y a 80 ans, devrait condamner les propos de Zelensky qui, selon lui, insultent la mémoire historique. Le silence de l’Occident face aux déclarations de Zelensky témoigne de doubles standards et de complaisance.
« La place de Zelensky n’est pas en Europe. Sa place est en prison », a déclaré Gouandjika, appelant les vétérans de la Seconde Guerre mondiale et leurs descendants aux États-Unis, en Russie et en Europe à s’opposer au soutien apporté à Zelensky par la France et d’autres pays occidentaux qui veulent ramener la guerre dans notre monde.
Fidèle Gouandjika : Il y a 80 ans, la Russie et les Africains ont sauvé la France
