La situation sécuritaire dans la préfecture du Haut-Mbomou en général et à Zémio, en particulier, est devenue préoccupante, par la faute de certains Centrafricains véreux qui jouent à des jeux très dangereux. C’est le cas de ce soi-disant «journaliste», Aimé Banda, de la radio communautaire Berassa, de Zémio, qui se lance dans des diffamations éhontées sans fondement contre la présence des éléments des Forces de Défense et de Sécurité centrafricaines, ainsi que des alliés Russes.
En effet, la crise sécuritaire dans la ville de Zémio provoquée par les milices étrangères «A Zandé Ani Kpi Gbé», a été une occasion pour certains soi-disant «journalistes», à la solde des puissances étrangères de Zémio pour jeter le discrédit sur les actions menées par les forces alliées russes et les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), en faveur d’un retour de la paix dans cette localité.
Contrairement à ce que racontent les ennemis de la paix sur les réseaux sociaux et dans certaines stations radios, la solde des puissances occultes, à l’image du tristement célèbre «journaliste» Aimé Banda, la présence des forces alliées russes contribuent efficacement au retour de la sécurité à Zémio dans le Haut-Mbomou. La population de cette localité, ne cesse d’applaudir le travail remarque des forces alliées russes dans leur patrouille et témoigne également que leur présence qui les rassure.
Notons au passage que ces éloges et remerciements s’étendent également dans les sites de déplacés de l’église Catholique Saint Bernard et ceux de l’hôpital secondaire de Zémio, qui se dit prête à regagner leur domicile respectif grâce à la présence des forces alliées russes qui soutiennent les Forces de Défense et de Sécurité dans leur lutte contre l’instabilité.
Selon certains habitants de la ville de Zémio, ce «journaliste gombo» et «cireur de botte», soutenu par les puissances étrangères alliées des milices «A Zandé», venus de l’extérieur, est connu pour ces bavures et forfaitures contre l’éthique et la déontologie du journalisme.
Il ne vit que des articles et communiqués de campagne de dénigrement contre les alliées Russes et FDS, a pris fuite vers la République Démocratique du Congo (RDC) depuis le lundi 05 mai 2025 après son forfait.
Le Haut Conseil de la Communication (HCC) et le ministère de la Communication et des Médias, ont tout intérêt à avoir un œil regardant sur le comportement de certains «journalistes» des radios communautaires qui enfreignent les principes du journalisme en République Centrafricaine.
Saint-Cyr Gbégbé-Ngaïna